Nous vous accompagnons
Monsieur P. est divorcé, salarié en CDI depuis septembre 2015. Il a un salaire de 2172 €. Il vit dans la maison familiale détenue en indivision avec ses 3 frères et sœurs depuis le décès de leur mère.
Le bien est valorisé à 80 000 € dans la succession. Il rachète les parts de ses frères et sœurs pour 60 000 €, le coût total étant de 64 000 € avec les frais de notaire.
Monsieur P. demande un prêt pour financer la soulte de 68 000 € tous frais inclus.
Pourquoi ce dossier ne trouvait-il pas de solution ?
Monsieur P. a rencontré 2 problèmes qui se sont cumulés auprès de toutes les banques qu’il a sollicitées.
D’une part, son âge : à 55 ans, les banques classiques ne tiennent plus compte du revenu actuel de Monsieur P. mais des simulations de sa future retraite. Or, dans son cas, les simulations de retraite étaient très inférieures à son salaire actuel. De ce fait, les mensualités de crédit proposées par les banques ne pouvaient plus être supportées par Monsieur P. au moment de son passage à la retraite.
D’autre part, compte tenu de son âge, les banques qu’il a sollicitées ne souhaitaient pas proposer de financement au delà d’une durée de 15 ans, ce qui impliquait des mensualités de crédit trop élevées au moment de son passage à la retraite.
Ce que nous avons obtenu :
→ Prêt immobilier
→ Durée du prêt : 25 ans
→ Monsieur P. a pourra ainsi faire face sereinement à ses mensualités lors de son passage à la retraite
→ Pas de changement de banque
→ Pas d'obligation de souscription d'assurance de prêt
Madame B., 72 ans, est veuve depuis 2012 et retraitée. Elle est propriétaire à 100% et en nom propre de son appartement à Cannes et propriétaire en indivision avec les enfants de son défunt mari d’un appartement à Paris.
Elle souhaite racheter les parts indivises des enfants. Elle apporte plus de 50% en fonds propres et demande un prêt hypothécaire in fine de 350 000 € qui sera remboursé par la vente de l’appartement parisien dans un délai de 3 ans avec une garantie prise exclusivement sur l’appartement de Paris.
Les banques classiques octroient des prêts pour le financement d’une soulte uniquement en prêt amortissable et exigent la souscription d’une assurance de prêt.
Or les revenus de Madame B. ne permettaient pas de faire face aux mensualités d’un prêt amortissable. D’autre part, le coût de l’assurance faisait dépasser le seuil d’usure de la Banque de France.
→ Prêt hypothécaire In Fine
→ Montant du prêt : 350 000 €
Madame B. savait qu'elle allait vendre un de ses biens dans un délai maximum de 5 ans. Elle a pu devenir à la fois plein propriétaire du bien parisien et prendre le temps pour effectuer son opération de vente tout en ayant une assurance en adéquation avec ses revenus.
Aucun versement, de quelque nature que ce soit ne peut être exigé d'un particulier, avant l'obtention d'un ou plusieurs prêts d'argent. Un crédit vous engage et doit être remboursé. Vérifiez vos capacités de remboursement avant de vous engager.