Nous vous accompagnons
Monsieur S. a 78 ans. Il était marié sous le régime de la communauté universelle. Il a entamé une procédure de divorce amiable. Le jugement prévoit qu’il verse une prestation compensatoire de 50 000 € et un paiement d’une soulte de 180 000 € pour récupérer la pleine propriété de l’ancienne résidence principale du couple.
Monsieur S. dispose d’un contrat d’assurance-vie valorisé à 170 000 € qu’il veut préserver car il souhaite acheter une nouvelle résidence principale. Son projet est de mettre en location la maison dont il rachète la part indivise à son ex-épouse et de la vendre dans un délai de 5 à 8 ans.
Pourquoi ce dossier ne trouvait-il pas de solution ?
Il n’a trouvé aucune solution de financement auprès des banques sollicitées à cause de son âge. Toutes les banques ont répondu qu’il était préférable qu’il vende le bien indivis et utilise les fonds pour acquitter la prestation compensatoire. Or, son ex-épouse avait besoin de fonds rapidement. Monsieur S. voulait éviter de se trouver dans l’obligation d’utiliser son épargne pour régler la prestation compensatoire et ensuite se retrouver bloqué pour son propre achat immobilier.
Ce que nous avons obtenu :
→ Type de prêt : hypothécaire In Fine
→ Montant du prêt : 230 000 €
→ Durée du prêt : 5 ans (obtention du prêt à 78 ans)
→ Garantie : hypothèque sur l'objet de la transaction
→ Sans nantissement de placement
→ Pas de changement de banque
→ Pas d'obligation de souscription d'assurance de prêt
Monsieur J., 66 ans, est retraité aujourd’hui, mais était gérant de société lorsqu’il a divorcé en 2014. Il a été condamné à verser 100 000 € à son ex-épouse. En 2016, alors qu’il n’avait pas versé la totalité de la somme, il a dû mettre sa société en liquidation judiciaire.
Monsieur J. n’étant plus en mesure de verser les sommes dues à son ex-épouse, celle-ci a sollicité la justice pour non versement de la prestation et a obtenu gain de cause auprès du tribunal. Monsieur J. est propriétaire d’un bien immobilier mis en location et il détient dans une indivision familiale un bien immobilier dans lequel il réside. Le tribunal a ordonné la saisie des loyers jusqu’à remboursement de la somme restante à payer.
Les caisses de retraite n’ayant pas encore débloqué la totalité de ses pensions, Monsieur J. s’est trouvé en difficulté financière. Il avait besoin de ses revenus fonciers pour faire face à ses obligations.
Monsieur J. cherchait un financement pour s’acquitter du solde de la prestation compensatoire, stopper la saisie sur les loyers mais aussi il avait besoin de faire des travaux dans sa résidence principale et de racheter un prêt personnel de 15 000 €.
Toutes les banques que Monsieur J. a sollicité ont refusé de traiter son dossier car il s’agissait d’une prestation compensatoire qui, de surcroît, a fait l’objet d’un jugement par un tribunal et d’une saisie de loyers par un huissier. D’autre part, son âge était aussi un facteur bloquant.
Après 2 ans de recherche, Monsieur J., nous a sollicité sans grand espoir. Nous l’avons écouté attentivement, nous avons analysé sa situation avec la plus grande diligence et nous l’avons présenté à un de nos partenaires bancaires, certainement le seul à pouvoir traiter cette demande sur le marché.
→ Type de prêt : hypothécaire
→ Montant du prêt : 100 000 € dont 65 000 € pour payer le solde de la prestation compensatoire, 15 000 € pour racheter un prêt personnel et 25 000 € de trésorerie personnelle pour reconstituer son épargne et réaliser des travaux dans la résidence familiale dans laquelle il vit.
→ Durée du prêt : 15 ans
→ Monsieur J. a souhaité souscrire une assurance de prêt. Nous lui en avons trouvé une parmi les plus compétitives du marché
La solution de financement de Popsenior a permis à Monsieur J. de :
→ Payer la prestation compensatoire à son ex-épouse en une seule fois
→ Récupérer les loyers de son bien immobilier grâce à la levée de saisie
→ Retrouver une situation financière saine
→ Racheter un crédit personnel en cours qui pesait dans son budget mensuel
→ Mettre à sa disposition de la trésorerie personnelle pour effectuer des travaux dans sa résidence
Aucun versement, de quelque nature que ce soit ne peut être exigé d'un particulier, avant l'obtention d'un ou plusieurs prêts d'argent. Un crédit vous engage et doit être remboursé. Vérifiez vos capacités de remboursement avant de vous engager.